Le parcours en géographie et en aménagement

Durant les trois premières années de licence, le programme en géographie sera axé sur l’acquisition de connaissance sur les reliefs et les sols terrestres et marins, mais également sur le climat. En parallèle, il y aura également un enseignement sur le fonctionnement des populations et des sociétés diverses. Dans les études en géographie et en aménagement, on traitera également de statistiques et de techniques en analyse spatiale et en cartographie.
Le but d’une formation en licence est d’orienter les étudiants dans une activité qui leur plaira, et ce grâce à des travaux dirigés. Le parcours permettra aux étudiants de se focaliser dans un domaine professionnel, que ce soit l’aménagement de territoire, le tourisme ou encore le développement local. Pour devenir enseignant dans ce domaine, un diplôme en master est exigé.

Les écoles formant en ingénierie et en sciences géographiques

En France, il y a plusieurs écoles axées sur le domaine scientifique de la géographie et qui proposent divers parcours selon les besoins de chaque étudiant. On cite L’École des Ingénieurs de la ville de Paris, qui a une spécialité en génie urbain. Elle est idéale pour les étudiants spécialisés dans les domaines scientifiques tels que les mathématiques et la physique.
On a également L’École Nationale des Sciences Géographiques se situant à Marne-la-Vallée, et l’Institut national polytechnique-École Nationale de la Météorologie de Toulouse.

L’expatriation est la formule choisie par de nombreux étudiants mais qu’en est-il des salariés ? D’après une étude menée par une agence, de plus en plus de personnes en postes sont séduites par la formule. Quelles sont les programmes et les destinations les plus prisées ?

Les formations à temps plein

Selon toujours cette enquête, la majorité des personnes qui décident de faire leurs valises pour aller suivre des formations diplômantes en dehors du territoire français optent pour des formations à temps plein. Cependant, il existe une tranche de salariés qui favorisent plutôt des cursus d’une semaine de cours par mois. Ceci étant dans le but d’accommoder leur formation avec leur disponibilité professionnelle. Tous se rejoignent toutefois sur un seul point, c’est l’envie de profiter une expérience à l’international. Ils ont le même désir de découvrir une carrière sur la scène internationale, sinon ils auront décidé de rester au pays en suivant des formations au sein de bonnes écoles françaises.

Londres et les USA, en pôle position

Les grandes écoles à l’étranger sont toujours favorables pour accueillir les candidats français. Ces derniers ont effet la réputation de disposer toutes les qualités requises aux profils adaptés aux Masters ou MBA généralistes. Il faut remarquer que les cadres français font parties des candidats les plus appréciés des établissements anglais, allemands ou suisses.
Pour ce qui est des destinations, les cadres ou simples salariés français, ayant l’envie de suivre une formation à l’étranger, préfèrent généralement les pays anglo-saxons. Parmi les plus prisées, la capitale anglaise et les USA ainsi que les établissements ayant une notoriété internationale. Outre la formation professionnelle, les français qui optent pour ces localités ont également le souhait de perfectionner leur capacité linguistique tout au long du cursus. En effet, la majorité des employeurs sur le plan international demandent aux candidats à un emploi une connaissance approfondie en anglais.

Même dans le monde professionnel, se former constitue toujours un atout pour l’évolution de la carrière du salarié. Cibler la bonne formation est donc primordiale pour acquérir les capacités qu’il faut et continuer à escalader les échelles. Comment dénicher cette formation ? Pour ceux qui se sentent un peu perdu dans cette quête, on vous montre trois astuces pour y parvenir.

Commencer par un bilan de compétences

Cela peut être effectué par le salarié lui-même, une simple rétrospection, en se posant les bonnes questions :
– « Vers où ma carrière doit évoluer ? »
– « De quoi je suis capable ? »
– « Quelles sont les compétences qui me manquent » ?
C’est le premier pas du ciblage de formation. Après cette première étape, le chemin sera plus clair, puisque la destination est déjà bien posée. Il convient ensuite de définir votre disponibilité par rapport à la formation (moyens financiers, conditions horaires, etc.)

Se renseigner à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise

Si l’entreprise dispose d’un service formation, c’est bien sûr l’interlocuteur idéal pouvant vous aider à vous orienter dans votre ciblage. On peut par ailleurs s’adresser au responsable de l’entretien annuel d’évaluation. Il pourra vous donner un feedback sur votre performance et vous donner quelques conseils pour améliorer vos compétences. En dehors de l’entreprise, il existe des structures, telles les Fongecifs, qui ont pour mission d’orienter le grand public dans le ciblage de formation. Vous pourrez également directement vous renseigner auprès des organismes de formation.

Le choix sur le type de formation

Les formations courtes sont généralement destinées pour qu’on acquière des techniques de base. Les formations à l’issue desquelles on obtient un diplôme sont plus longues et plus coûteuses. On peut par ailleurs opter pour les formations à distance ou les formations en ligne. Mais cela nécessite évidemment une bonne discipline de votre part.

L’amateurisme n’est plus de mise dans la prise en charge des enfants. Il est loin le temps où les parents engageaient simplement les ados pour la surveillance de leur petit. Pour leur bien-être et leur sécurité, il est préférable d’engager des professionnels disposant, pourquoi pas, d’un CAP petite enfance.

Étudier à distance

Vous n’avez pas besoin de changer du tout au tout votre emploi du temps et votre vie pour obtenir votre CAP petite enfance. Comme bien nombreux prétendants, pourquoi ne pas le faire à distance ? Les cours sont non seulement faciles à suivre, mais vous aurez aussi l’appui d’enseignant expérimenté et toujours disponible. Il vous suffit d’avoir une bonne connexion internet pour suivre les cours.

À distance ou non, vous aurez la possibilité de vous présenter à des examens officiels pour l’obtention de votre CAP petite enfance, une fois que votre cursus a été terminé. Selon votre niveau, et votre implication dans les cours, vous devriez réussir du premier coup. Ce peut être aussi bien lors des examens écrits que pratique. Le passage de l’examen implique également un stage de quelques mois dans un établissement reconnu par les autorités en places : écoles, garderie, hôpital, etc. En moyenne, il vous faudra quelques mois pour réussir un CAP petite enfance.

Un secteur plein de promesses

Obtenir son CAP petite enfance semble être une bonne idée. Et pour cause, on parle ici d’un secteur en pleine évolution avec plaine de promesse. Contrairement aux idées reçues, la finalité ne sera pas uniquement le fait de travailler en tant qu’assistance maternelle. Vous pouvez ouvrir une garderie, devenir baby-sitter, proposer une prestation de suivi scolaire, etc. Tout dépend de vos envies.
La CAP petite enfance vous ouvrira bien des portes. Et vous garantira la pérennité et la facilité de développement de votre entreprise. Comme susmentionné, ce sera un avantage dans la mesure où les particuliers recherchent du professionnalisme pour la prise en charge de leurs chères petites têtes blondes. Mais attention, le CAP en lui-même ne sera pas suffisant. Encore faudrait-il proposer des services de qualité à vos clients qui serviront de référence.